En cas de décès de la victime directe, le préjudice d’affection correspond au préjudice moral subi par les proches à la suite de ce décès. Il est également celui résultant du retentissement pathologique avéré que le décès a pu entraîner. En cas de survie de la victime directe, préjudice moral subi par certains proches à la vue de la douleur, de la déchéance et de la souffrance de la victime directe. Il est également celui résultant du retentissement pathologique avéré que la perception du handicap de la victime a pu entraîner chez certains proches.
« Retour au lexique médico-juridique