Avocat en droit du dommage corporel : quand, comment et pourquoi le solliciter ?

A la suite d’un accident, quel qu’il soit : accident du travail, accident de la circulation, accident médical, victime d’infraction, accident de la vie privée, accident de sport (rugby, handball, équitation…)

Le plus tôt possible après que l’accident ait eu lieu et ce, pour éviter de se retrouver seul et vulnérable face à une compagnie d’assurance et pour ne perdre aucune chance de se voir indemnisé correctement.

Trois questions importantes à se poser ?

• l’avocat choisi est-il formé en droit du dommage corporel ? Il est indispensable que l’avocat choisi soit formé en droit du dommage corporel, qu’il connaisse la jurisprudence et la technique applicable afin que vous perceviez l’indemnisation correspondant à votre préjudice.
• connaît-il des médecins conseils avec lesquels il a des habitudes de travail ? La base d’une bonne indemnisation est une expertise médicale juste. Pour qu’une expertise médicale soit juste, il est indispensable que la victime soit accompagnée d’un médecin diplômé de réparation juridique du dommage corporel avec lequel l’avocat a l’habitude de travailler et qu’il va mandater pour assister la victime. Le médecin conseil est indispensable pour discuter, contester, contredire, médicalement parlant, l’expert.
• s’occupera-t-il directement de votre dossier ou a-t-il des collaborateurs ? Aujourd’hui, nous sommes trop souvent confrontés à des prestataires de services qui manquent de disponibilité, d’écoute et d’efficacité. Il est important d’avoir à faire à un seul et même avocat.

L’intérêt de faire appel à un avocat formé en dommage corporel ?

L’avocat en droit du dommage corporel pratique quotidiennement cette matière. Ses connaissances sont approfondies par une formation dans ce domaine.

Il connaît les problèmes récurrents dans les dossiers de dommage corporel et son activité en pratique lui permet d’envisager votre dossier avec un niveau de qualité supérieur.

Source : www.godet- avocat-toulouse.com Anne-Laure GODET (01/03/2017)